biographie
SOSANA MARCELINO
Chorégraphe,
interprète, improvisatrice.
Possède
le Diplôme d’Etat en danse contemporaine.
Signe de
nombreuses créations chorégraphiques : [NOTRE DAME DE
PARIS] EXTRA [2012] en collaboration avec SIRILTIEBO; Semblables?
[2011]; A travers [2010]; Bee Dance [2010]; Une danse pour 3 femmes
[2010]; Etreintes
[2008] en collaboration avec le réalisateur &
scénographe Bruno Cohen ; Liaison hydrogène
[2006] ; Só [2005] [édition du livre du
spectacle, mars 2007] ; des-illusions I et II [2004 et 2005] en
collaboration avec Bruno Cohen ; Convergence be-gegnungen [2005] ;
Pelouse interdite [2004] en collaboration avec le
Théâtre du Paradis ; Le moment ou jamais [2003] ;
1,2,3, pas à pas [2001] ; F6, espace habité
[2001] ; Triptic [2000].
Française
d’origine portugaise, elle questionne les notions de
socialisation et d’incorporation liées
à sa double culture. Elle développe le travail du
corps dans sa globalité et explore l’univers de la
voix.
Est
accueillie au CCN, Ballet de Lorraine
à Nancy (54) en 2011 et 2000 et au CCN, Ballet de l’Opéra National du
Rhin à Mulhouse (68) en 2006.
Est soutenue par la fondation Calouste Gulbenkian (Lisbonne/Portugal) depuis 2007.
Est soutenue par la DRAC Lorraine pour l'Aide au Projet en 2006, 2005, 2001 et 2000.
Est
accueillie en résidence chorégraphique au Centre
Culturel Pablo Picasso, Scène conventionnée Jeune
Public à Homécourt (54) de 2001 à 2005
et à Neufchâteau (88) de 1999 à 2003.
Met en
place des projets européens depuis 2005 avec
l’Allemagne, le Luxembourg, le Portugal et la Pologne.
« Pour
moi, la voix fait partie intégrante du corps et du
mouvement. Je considère que le corps dansant n’est
réellement investi que s’il est
accompagné de la voix. Mes danseurs parlent, chantent et
dansent sur scène dans leur langue maternelle, non pas
forcément pour être compris mais pour mettre en
relief le rapport au rythme, au son et à la respiration : la
pulsation, c’est la danse et c’est aussi la musique
! »
« La
composition chorégraphique est le résultat
d’une émotion qui se dévoile au monde,
la structure existe pour mettre en relief l’essence du geste.
»
«
La qualité du mouvement n’existe que
s’il est juste, et pour qu’il soit juste,
l’intention elle-même doit être juste et
honnête. »